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immixtion
14 février 2007

Vain saint latent ?

Je l'aimais comme une sœur incestueuse et je trouve indécent de vouloir qu'elle reste ma meilleure amie. Indécent de mêler le mal que j'ai pour elle au bonheur que j'ai pour nous. J'aurais dû voir plus tôt ce que je lui laissais croire sans le vouloir. J'aurais dû, bien plus tôt.

Mon amour pour toi est à ne pas vouloir le partager. J'ai retrouvé ton regard, celui qui mêle candeur et lubricité, celui qui avait déjà conquis mon être et envahi mes esprits. Tu t'es emparée de moi et j'en suis ravi. Ton amour m'inonde et le mien me submerge à chaque seconde. Je t'appartiens, maître et soumis. Je t'ai baisée à t'en faire mal, tu m'as pénétré et j'en ai joui. Tu es à moi, je suis en toi, tu es en moi, je suis à toi... cœurs, corps et âmes, et de tous nos velours mon amour.

J'aimerais goûter en cet instant ce dessert de nous selon tes mots... ce sabayon de nos liqueurs intimes.

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Commentaires
M
Garg,<br /> Miam !<br /> <br /> Marie,<br /> Oui, très bon, mais j'avoue mon énorme penchant pour un millésime plus récent.<br /> <br /> Mon amour de velour,<br /> Souvent tu m'intrigues, parfois tu me fais un peu peur aussi...<br /> J'adore ça et toujours tu me plais.
D
à la Saint Glinglin?<br /> <br /> Mon dealer de baisers, <br /> <br /> Rappelle-toi de cette chambre nue où nous friquotions, nos ventres gonflés de délices et nos peaux gercées de douceurs. Souviens-toi de nos sauvages moments où l’on s’arrachait nos jouissances. J’entends encore le monstre du plaisir manger goulûment nos essoufflements et nos murmures.<br /> <br /> Pourtant maintenant, j’ai le coeur fendu au beau milieu de mon amour. Je suis en manque de toi et ton retour est attendu dans les impatiences que tu m’as sûrement devinées. Je suis obsédée de toi alors je regarde mon agenda à égrainer les jours comme un obèse à mettre au régime...<br /> <br /> <br /> ou à la Saint Félicité... <br /> <br /> Mon insatiable fringale,<br /> <br /> Quittons cette chambre, suis-moi. Et déguises-toi. Ici les promesses sont les parures des amants. Là-bas, les encores sont les exigences des aimants. Ils nous reconnaîtront à nos yeux injectées de lubricité et nos veines piquées de tendresse. Je rêve de peaux en vapeur et de débauches délicats, d’overdose de cajoleries et d’ébriété de nos sexes, de câlins repus et de caresses bedonnantes, d'étroits sommeils et de réveils de sabbats! <br /> <br /> Pourtant maintenant, je vis dans une maison d’obscurité parsemée de nouveaux enfers. Pourquoi as-tu laissé mon cœur sans écorce et farouche à la patience ? Je n’ai de regret que la sensualité dans tes gestes, la beauté de tes attentions. Le reste, tu me l’as cédé comme je t’ai offert humblement mon âme à morsures de baisers. <br /> <br /> <br /> et à la Sainte Irène?<br /> <br /> Mon concessionnaire de plaisir, <br /> <br /> Laisse-toi faire. Je ferais de ta peau ma robe des beaux soirs, de ton bassin ma guêpière, de ton sourire mon porte jartelles, de tes rires mon push up et de tes yeux mon diadème. J’ai beaucoup de douleur de te savoir loin mais j’ai bien plus d’amour de me sentir à toi. L'une fait que j'endure, et l'autre que je dure.<br /> <br /> Pourtant maintenant, j'ai une commande spéciale à te faire.. Un voeux à combler. Je t'en parlerai quand tu seras tantôt à la croupe, tantôt à la bouche quand nous serons à nous pâmer dans nos élucubrations charnelles et honorant avec ferveur Eros, Hathor, Aphrodite, Freya ou Ourania...
M
Très bon cru, 74...
G
Et la prune d'un grand'père, ça compte ? Pasque j'en ai retrouvé une caisse il y a quelques mois en faisant du rangement.<br /> <br /> De la prune 74. Coïncidence, c'est l'année d'embouteillage et le degré d'alcool.
M
Je ne te permets pas de mettre en doute la prune, elle, de mes yeux.<br /> Mais la niôle d'un grand-père ça ne se chicane pas.
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