16 février 2007
Ma vie, ton œuvre...
Plus que ma muse je veux que tu sois l'artiste de ma vie.
Je suis ta page blanche, ta toile vierge et ta pierre brute.
Crayonne-moi, esquisse-moi et sculpte-moi à l'envi, à ton envie.
Utilise pour cela ton cœur, ton esprit, tes yeux, ta bouche, tes mains, tes pieds, tes jambes, tes seins, ton ventre, ton sexe et ton cul.
De ta cambrure à ta nuque je serai la reliure ; de ton dos je serai le cadre et la sellette.
Fais de moi ton roman passionnant, de pastels et d'huiles ta nature vivante ; fais de moi ta plus belle stèle.
Tes inspirations, mes aspirations... Avec ton sans...
19 février 2007
Marie,
Je l'aime dans sa prose qui poétise, c'est entendu...
En revanche toi, je t'aime tout court.
Surtout dans ta robe rose qui m'hypnotise. (Ouais elle est pauvre je sais, mais vous avez vu l'heure ?) (Bon...)
Mix,
...
La charmante jeune femme du dessus qui convoite des objets vibrants à vocation non-communicative n'a pas encore achevé de m'endoctriner. Mais j'y penserai, j'y penserai, c'est promis.
21 février 2007
tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques tu me manques
24 avril 2007
Sans toi je ne suis pas même une. M'introduire dans ton monde, belle folie féconde, depuis toujours m'attise en abondance. Doucement, sans forcer, pour l'alliance des coeurs que les corps ne saliront pas... sous peine de sombrer dans le sillage des Borgia... Lucrèce, je vai être elle, une elle qui sera moi, et elle et moi entremêlées à jamais. Mon monde à moi c'est aussi celui là, seul l'imaginaire le nourrit.
"La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste." (Victor Hugo), cites-tu dans quelqu'autre errance. C'est ce souffle là aussi qui nous rapproche, douce mélancolie déferlant d'on ne sait où. Mais peu importe, elle guette, tapie là, attendant la prochaine faille pour s'immiscer insidieuse.
Rapproche toi de moi à l'envi, à ton envie.
Tu m'as manquée.
16 février 2007
Lorsque tu l'aimes,
moi je t'aime.